Ma crinière et le doigt sur la plaie
Un être qui m'est exceptionnellement cher m'a incité, sous forme de défi, et par sms , à reprendre l'écriture de ce blog. Non pas que la maintenance de cet espace virtuel me coûte, mais les nombreuses heures passées au travail me lessivent le plus souvent, et je me dirige donc habituellement vers des loisirs moins contraignants. Comme certains de mes proches le savent, je suis atteint d'un symptôme que j'espérais passager mais qui s'avère, au fil des mois, plutôt persistant. L'allopathie partielle, due au stress, ou pelade. Bien sûr, ce n'est pas la fin du monde. On apprend à se caresser la partie dégarnie du crâne, alors qu'on caresse surtout l'espoir que les molles racines effleurées redeviendront de vigoureux cheveux. Et puis on devine certains regards surpris ou attirés par cette "anomalie" de la chevelure. Je m'y suis accommodé, même si, ne ressentant pas d'attraction particulière pour le rasage ou la tonsure les heures qu