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PSPV mon amour

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  . Vaya por delante que si una sola o uno solo de los periodistas que dispone de cierta información la hubiera puesto sobre la mesa antes o durante la campaña todo habría sido distinto este 28 de mayo. Asimismo, vaya por delante que pretendería plantear propuestas más en positivo que la de destrozar al PSPV, pero las gestas de los dirigentes de ese partido y las razones que me dan lo convierten a mis ojos en un ejercicio plenamente válido y lleno de sentido. Lo personal es político, no se cansan de repetir algunos ilustres militantes de ese partido. Y ya que lo personal es política resulta inevitable retratar a parte del personal a sueldo de Ximo Puig y sobre todo de todos nosotros estos últimos años: - Manolo Le Frivolo , con él empezó todo. Habría bastante más que decir que lo que voy a poder. Yo desde las primeras veces que lo vi intuí que no estaba hecho para la política, o demasiado hecho para cierta política nefasta, llena de falsas apariencias. También observé cómo se lo pasaba

Alberto el quinto Mosquetero

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 Como indicaba en un anterior artículo , del PSPV te salen más mosqueteros dispuestos a defender o a silenciar secuestros de niños y sectas de pederastas que los violan que los que contamos entre los principales protagonistas de la novela de Dumas. Detengámonos en otro, uno que merece que le dediquemos una entrada a él solito: Alberto Aznar Traval. Otro genio de la política valenciana.  Resulta que hoy en día, tras su meteórica progresión en ese mundo, no solo ejerce de gerente de AUMSA, sino que tiene a su cargo las ideas y los programas del PSOE de la ciudad de València. Como se da el caso para varios de sus compañeros nos podríamos preguntar de dónde saca el tiempo. Aunque cuando brillas y eres de esos modernillos dandy crack de la compol todo te resulta más fácil, un poco como ocurre con su amigo JIP. De la Consellería a Aumsa y sigo porque me toca. Cierto es que hablamos de una situación laboral mejor que cuando le explotaba un prestigioso pero rácano despacho de abogados. Por ell

Musicson (mais vous ne leur dîtes rien, on est bien d'accord ?)

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  Je suis passé pas loin il y a quelques jours à une heure théorique d'ouverture et ils m'avaient bien l'air fermés, leurs locaux ultra décrépis. Définitivement ? À l'époque où je les avais fait bénéficier de mes talents professionnels on trouvait même des cafards dans le bar d'à côté ! Alors eux; une boîte fondée par le patriarche dans les années 70. Certains employés se souvenaient encore des grasses rémunérations perçues au black pour voler des secrets industriels chez les confrères au moment de la fondation. Au moins le paternel pouvait se vanter d'avoir sonorisé plusieurs concerts de quelques vedettes en pattes d'eph' comme  Miguel Ríos .  Ses deux fils les héritiers par contre, comment dire ? Le paternel avait théoriquement pris sa retraite mais malgré cela, tôt le matin, il était souvent le premier à planter sa bagnole, une Jaguar, devant la porte des locaux qu'il ne prenait quand même pas la peine de faire rénover ni de mettre consciencieus

Cuando conocí a Rita Barberá

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  Las cuatro de la tarde o por allí de un día entre semana de los noventa. Salgo del Instituto de los Pontonniers caminando con mi bici al lado, empujándola antes de salir al calle y poderme subir a ella. ¿Y con quien me topo, caminando por la acera, ya en la Neustadt , a punto de cruzar hacia la place Saint -Étienne por el puente del mismo nombre? A Pascual Maragall. ¡Hombre, Maragüall, querido compatriota, compañero, usted por aquí! Había pronunciado mal su apellido y sin duda por lo cariacontecido que se puso se sintió bastante ofendido. "Maragüall" dije, y es Maragall. Rectifico pronunciándolo correctamente a continuación suya.  Entonces me cuenta que viene recorriendo a pie al camino desde la sede del parlamento europeo, cercana a mi casa, hacia donde estoy a punto de dirigirme en dirección contraria a la suya. Anduvo en un encuentro de alcaldes europeos junto a la alcaldesa de València, que viene un poco atrás, y se dirigen hacia un sarao de los que se organizan en la

Le valencianisme politique et moi

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  Franco-espagnol de naissance, et officiellement binational depuis juillet 2014, c'est au consulat espagnol de Córdoba en Argentine et devant le consul, l'excellent diplomate que le royaume comptait alors là-bas, que je promettais loyauté au roi tout fraîchement sacré, fils de son père, et cela tout républicain que je puisse me sentir. J'en connais, à Montréal, qui ont du jurer fidélité à la reine d’Angleterre. Quant aux consuls d’Espagne il faudra que j'évoque un jour de celui tout aussi gâteux qu'honoraire qui m'accueillit à Catamarca.  J'ai passé a peu près la moitié de ma vie dans chacun des pays, m'étant installé après mes études dans le pays de ma mère. Et si je suis arrivé espagnol, je me sens plus valencien désormais. Je vais tenter d'expliquer le pourquoi du comment. Le drapeau espagnol fut depuis toujours autant mon drapeau que celui de la France, il ne me serait pas venu à l'idée de me décider entre papa et maman. Même plus, lors les

L'advocat (que es creia conseller en cap)

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Primavera/Estiu de 2019 “Hummmmm, dimecres…” Vaig caminant lentament -és al matí i no fa molt que vaig emergir- per la vorera d'una artèria adjacent al riu que va veure com la faraònica seu del seu partit passava a millor vida, substituïda per un hotel en construcció de la qual els hostes albergaran segurament menys intrigues i secrets inconfessables que les successives direccions del PSPV .  Mig adormit, la percepció d'un moviment brusc delata una presència a la meua esquerra i em fa alçar els ulls del sòl mentre vaig caminant. Ell acaba de donar un gir vivaç, sobtat, propi d'un personatge agitat, d'una sort de Louis de Funés . Un gir, alhora que una flexió que ve a marcar una accentuada curvatura, conformant un angle recte quasi perfecte entre cames i pelvis. Una postura exagerada amb la qual la posició del seu tronc permet una mirada molt pròxima a un cartell. Una mirada digna d'un miop profund, de fet porta ulleres i no li seria necessari acostar-la tant. No re

Mon hommage à Ramón Vilar

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 Ça fait donc un peu plus d'un an que tu es parti, Ramón Vilar. J’aperçois de-ci de-là sur le net les hommages qui te sont rendu et que tu mérites bien, "vaya si te los mereces", et je me dois d'y rajouter le mien. En français bien sûr, le francophile que tu étais n'en aura reçu que peu dans cette langue et ta figure d'homme politique aux multiples facettes mais aussi celle de l'internationale, aurait su, je l'espère, apprécier. Car au début des années 80 tu occupas quelque temps le poste de chargé de l'international au Bureau National des Jeunesses Socialistes Espagnoles et n'auras de cesse de t’intéresser à la politique internationale, malgré ton relatif manque de diplomatie, notamment pour ce qui concerne les questions ayant trait au Maroc, à son régime, et au conflit du Sahara occidental.  Le jour où nous nous sommes connu Je ne te connaissais que de vue. Depuis mon arrivée en Espagne j'avais eu à cœur de continuer à militer aux  JSE p