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J'ai eu l'honneur de dîner en compagnie de Jackie Shroff

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  Il n'est pas très connu part nos contrées, mais je pris immédiatement conscience de la célébrité en présence de laquelle je me trouvais et avec qui j'aurais plus tard le plaisir de dîner. J'avais rarement, voire jamais, pu constater comment un type remerciait pour leur dévouement ceux qui se prosternaient avec effusion devant lui en leur distribuant des bonbons qu'il sortait de la poche de son pantalon. Il les distribuait à ses inconditionnels dès que ceux-ci avaient mis au moins un genou au sol. Si naturellement qu’on était amené à penser qu'il le méritait, ce brave homme. Si on parle du nombre de films qu’il tournait par an, cela ne fait aucun doute ;-) Je découvris plus tard, lors du dîner, qu'il passait tellement de temps en tournage qu’il ne connaissait pas Almodóvar! Je l'aurais pourtant parfaitement vu dans un de ses films, peut-être est-il encore temps :-)  Nous fûmes présentés pour l'apéritif par mon distributeur, qui le connaissait bien sûr

Cuando conocí a Jackie Shroff, el famosísimo actor de Bollywood

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No es muy renombrado por estos lares, pero tomé enseguida conciencia de la celebridad ante la que me encontraba y con el que tendría luego el gusto de cenar.  Y es que rara vez, por no decir nunca, había podido observar como un tipo iba agradeciendo su devoción a los que se prosternaban efusivamente ante él regalándoles caramelitos que se iba sacando del bolsillo de su pantalón. Se los entregaba a sus incondicionales una vez aquellos habían puesto al menos una rodilla al suelo. Con tanta naturalidad que llegabas a pensar que se lo tendría merecido, el hombre. En cuanto a números de pelis rodadas al año no hay duda, je. De tantas pelis que protagonizaba me enteré luego durante la cena que no conocía ni a Almodóvar ;-)  Yo le habría imaginado perfectamente en una de sus películas, quizás estemos a tiempo. Mientras tanto nos presentarían para el aperitivo, en el que los vendedores potenciales ejercíamos de invitantes, junto a mi distribuidor de Nueva-Delhi quien ya lo conocía de antes. En

Les quatre mousquetaires du PSPV-PSOE

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Ils brillent de mille feux dans le monde de la politique valencienne ! J'ai d’ores et déjà consacré un article à chacun des deux salopards en chef ( https://fredspie.blogspot.com/2021/03/l-avocat-qui-se-croyait-premier.html et https://fredspie.blogspot.com/2021/01/jip-en-francais.html ), mais si au moins ils n’étaient que deux ! Ils sont fort probablement plus de quatre à avoir plongé leurs sales pattes dans la collaboration avec l'enlèvement de mon fils et les sectes de sa mère mais nous n’étudierons pour l’instant que deux crétins de plus. Et il est bien connu que les trois mousquetaires étaient quatre. Le spirituel   Commençons par le glorieux ex-secrétaire d'organisation (numéro 2, quoi) des Jeunes Socialistes du Pays Valencien (JSPV) qui m'eut sous ses ordres (si tant est qu’il fût en mesure de les donner) à mon arrivée de France. Il ne ressemblait pas à grand-chose et je ne pense même pas que ce soit lui qui ait décidé de me mettre à la porte lorsqu'il

Lorsque je fus concierge du Crédit Agricole de València

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  Des débuts prometteurs Début des années 2000. Je ne pensais pas rencontrer de difficultés insurmontables dans ma nouvelle recherche d’emploi, mais je me dirigeai à ce moment-là vers ma cousine consultante dans une multinationale du travail temporaire pour en trouver un. J'avais déjà fait le tour des enquêtes et je cherchais autre chose. La variété et l'intérêt de nombreuse des enquêtes que j'ai pu réaliser mériteraient un autre article, mais je vais pour l'instant me concentrer sur mon travail au Crédit Agricole de València. Le salaire était intéressant et l'activité à déployer relativement faible. La lecture Face au temps qui s'écoulait entre les demandes de cartes d'identité et les autres tâches qui m'étaient confiées, l'un de mes premiers réflexes fut de prendre quelques livres épais et il s'était avéré utile que l’on m’apporte l'improbable autobiographie de Jan Valtin , que je recommandai ensuite parmi les rangs du PSPV sans aucun succ

Le match Belgrano-Ferro Carril Oeste de deuxième division argentine, en avril 2010 et sous les grêlons, j'y étais ;-)

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Une soirée de foot unique en son genre J'en aurai vécu, des nuits mémorables de football, y compris des soirs de rencontres de coupe d’Europe, à la Meinau ou au Ciutat , mais que dire de cette soirée de match de Primera B Nacional en 2010 au Gigante de Alberdi ! J'étais déjà presque sûr que je ne pourrais pas voir mon fils tout au long de mon mois de présence à Córdoba et dans sa région. Ce fut malgré tout un gros soulagement de pouvoir connaitre ses centres de vie, son école primaire et tout ça. Parce que, depuis le kidnapping, l'Argentine, un pays contre lequel je n’avais aucun a priori particulier, était devenu pour moi un véritable trou noir. M’autoriser d'aller en compagnie de Fede, l’aimable cordobés qui me convertit en supporter de Belgrano , au Gigante de Alberdi, fut un putain de luxe ! Le meilleur match, au meilleur moment, dans le meilleur des stades possible. L'attaquant qui attira mon attention s'appelait Franco "el mudo" (le muet) Vázque

Estuve en el Belgrano-Ferro de Primera B Nacional de abril del 2010, bajo el granizo

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Aquella Noche ¡Viví noches memorables de fútbol, hasta europeas, en la Meinau o en el Ciutat, pero que decir de aquella noche de partido de Primera B Nacional del 2010 en el Gigante de Alberdi ! Yo ya tenía bastante claro que a lo largo del mes no iba a poder ver a mi hijo. Aunque menudo alivio poder ver sus centros de vida y todo eso. Porque el agujero negro que era Argentina para mi desde el secuestro, vaya. ¡Y permitirme ir junto a Fede, el encantador chaval que me hizo de Belgrano , al Gigante de Alberdi, fue un puto lujo! El mejor partido, en el mejor momento, en la mejor cancha posible. El delantero ese que me llamó la atención se llamaba Franco "el mudo" Vázquez . “Es nuestro especial", me dijo Fede, cuando se lo señalé. Luego se lo recomendaría,  mucho antes de que fuera famoso, al consejero del Levante Ramón Vilar (D.E.P).  "Gallina" le gritaban en coro al de Ferro que tenia pasado en los enemigos de  Talleres . "Pecho frío" se le sol

Cuando fui conserje de la Caja Rural de València

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Unos inicios esperanzadores   Principios de los años 2000. No desconfiaba para nada de encontrar un nuevo trabajo, pero fue un momento en el que acudí a mi prima consultora de una ETT multinacional para conseguir uno. A lo de las encuestas ya le había dado bastante las vueltas y andaba buscando otra cosa. La variedad y el interés de muchas de las encuestas que llegué a realizar diría que merecerá otro artículo, pero me centraré ahora en mis curros de la Caja Rural de Valencia. La nómina era interesante y la actividad a desplegar relativamente reducida.   La lectura   De los primeros reflejos ante el tiempo que corría entre petición de DNI y petición de DNI u otras tareas que me asignaron fue agarrar libros largos y me vino de perlas que me trajeran la improbable autobiografía de Jan Valtin , que fui recomendando luego en las filas del PSPV sin ningún éxito.  También pasaban por mis manos revistas dedicadas al mundo de la banca, no desconocido por mi desde mis prácticas en el Créd