Les quatre mousquetaires du PSPV-PSOE

Ils brillent de mille feux dans le monde de la politique valencienne ! J'ai d’ores et déjà consacré un article à chacun des deux salopards en chef (https://fredspie.blogspot.com/2021/03/l-avocat-qui-se-croyait-premier.html et https://fredspie.blogspot.com/2021/01/jip-en-francais.html), mais si au moins ils n’étaient que deux !

Ils sont fort probablement plus de quatre à avoir plongé leurs sales pattes dans la collaboration avec l'enlèvement de mon fils et les sectes de sa mère mais nous n’étudierons pour l’instant que deux crétins de plus. Et il est bien connu que les trois mousquetaires étaient quatre.

Le spirituel

 Commençons par le glorieux ex-secrétaire d'organisation (numéro 2, quoi) des Jeunes Socialistes du Pays Valencien (JSPV) qui m'eut sous ses ordres (si tant est qu’il fût en mesure de les donner) à mon arrivée de France. Il ne ressemblait pas à grand-chose et je ne pense même pas que ce soit lui qui ait décidé de me mettre à la porte lorsqu'ils réalisèrent qu'ils ne pourraient pas compter sur moi pour leurs machinations de jeunes lermistes (de Lerma, l’apparatchik socialiste qui gouverna longtemps la région) à moitié mafieux. Je ne fus pas non plus surpris d'être payé au noir - tout en signant des reçus - une pratique qui n'était pas totalement absente dans les organisations françaises de l'époque que je fréquentai.

Ce qui me surpris, en revanche, des années plus tard, c'est de le voir apparaître sur des photos de la seconde secte de laquelle je suis sûr que la mère de mon fils est adepte, et en sa compagnie. A València, au retour de celle-ci de l'autre « communauté », la secte argentine du pédocriminel emprisonné. Une secte bien ridicule et dangereuse, encore une fois, dirigée des gourous indiens de série B; des photos illustrant de mini scènes d’une espèce de Bollywood mystique dans des appartements valenciens. Quelqu'un m’avait bien dit que le type en question disparaissait de temps en temps du paysage pour de longues retraites spirituelles en Inde. Eh bien, il semble que les sectes véreuses d'inspiration bouddhiste (commandées par des pédocriminels bien souvent) soient compatibles avec le PSOE, le PSPV et même avec les programmes de Pedro Sánchez ?

 L’avocat médiocre

 Et puis alors quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver, il n'y a pas si longtemps, au tribunal, en compagnie de celui que j'avais aussi connu (tout comme la mère de mon fils, tiens tiens) à la jeunesse socialiste du País Valencià et que ma mémoire cataloguait jusqu'alors comme l'Arbitre de Football. Un juge de touche, en fait. Je ne sais pas s'il a depuis dépassé la troisième division, mais il avouait se contrefoutre du sport et officier pour l'argent. Très certainement pour financer ses études de droit et pouvoir ainsi devenir plus tard "avocat commis d'office" de causes aussi justes que celle qui provoqua nos retrouvailles. Celui dont je me souvenais aussi comme d'un pitre qui aurait parfaitement pu rejoindre un parti de droite avait été assigné à la défense de la ravisseuse adepte du gourou pédocriminel. C’est qu’elle tentait d’y retourner, dans la secte, et avec son aide. Ainsi qu’avec l’aide de la fameuse juge réfractaire à la vérité (celle du tribunal de 9^ème instance de València, coucou, on se connaît bien maintenant 😉) et celle d’une procureure qui mettait ouvertement quatre enfants en danger. Bravo le magistrat du ministère public !

Il n'éprouva aucune gêne à m'avouer, dans les couloirs du palais de justice, qu'il avait rencontré mon fils en compagnie de sa mère afin de bien le manipuler ensemble. Je ne suis pas sûr qu'il soit encore membre du PSPV, mais il serait fort dommage que son talent de juriste n’y soit pas requis.

Avec tout le gâchis derrière nous et après avoir été désigné comme son millième (et j’exagère à peine, d'innombrables lui tournèrent le dos) avocat, son principal argument fut d’expliquer que dès lors que je ne m'entendais pas bien avec mon père il était probable que je ne m’entende pas avec mon fils. Clap clap clap, cela valait bien la peine de consacrer des week-ends de sa jeunesse à signaler des coups de pied de but ou des hors-jeu.

J’arrivai finalement à préserver mon fils (au moins physiquement) de la secte du pédocriminel jusqu’à ses 18 ans, préservant du coup les trois autres petites filles sur le point de rejoindre la "communauté". En plus à cause du Covid ou grâce à lui ils ne sont toujours pas partis (à moins que…on ne se sait jamais…)

J’ignore ce qui se passe dans ces jeunesses socialistes valenciennes mais en cherchant un peu sur google on trouve aisément aussi un ancien SG desdites jeunesses d’une grosse ville de la région condamné pour pédocriminalité ou encore une fête de congrès qui dégénère et où une adolescente est violée… Et on parle de générations beaucoup plus récentes que la mienne.

En Conclusion

J’évoque déjà ici quatre personnes, en plus d’une juge et d’une procureure, à qui la secte d’un mec condamné pour viols sur enfants leur paraît un bon environnement éducatif. La faillite totale, quoi, je sais pas ce qu’on leur a fait.