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Musicson (mais vous ne leur dîtes rien, on est bien d'accord ?)

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  Je suis passé pas loin il y a quelques jours à une heure théorique d'ouverture et ils m'avaient bien l'air fermés, leurs locaux ultra décrépis. Définitivement ? À l'époque où je les avais fait bénéficier de mes talents professionnels on trouvait même des cafards dans le bar d'à côté ! Alors eux; une boîte fondée par le patriarche dans les années 70. Certains employés se souvenaient encore des grasses rémunérations perçues au black pour voler des secrets industriels chez les confrères au moment de la fondation. Au moins le paternel pouvait se vanter d'avoir sonorisé plusieurs concerts de quelques vedettes en pattes d'eph' comme  Miguel Ríos .  Ses deux fils les héritiers par contre, comment dire ? Le paternel avait théoriquement pris sa retraite mais malgré cela, tôt le matin, il était souvent le premier à planter sa bagnole, une Jaguar, devant la porte des locaux qu'il ne prenait quand même pas la peine de faire rénover ni de mettre consciencieus

Cuando conocí a Rita Barberá

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  Las cuatro de la tarde o por allí de un día entre semana de los noventa. Salgo del Instituto de los Pontonniers caminando con mi bici al lado, empujándola antes de salir al calle y poderme subir a ella. ¿Y con quien me topo, caminando por la acera, ya en la Neustadt , a punto de cruzar hacia la place Saint -Étienne por el puente del mismo nombre? A Pascual Maragall. ¡Hombre, Maragüall, querido compatriota, compañero, usted por aquí! Había pronunciado mal su apellido y sin duda por lo cariacontecido que se puso se sintió bastante ofendido. "Maragüall" dije, y es Maragall. Rectifico pronunciándolo correctamente a continuación suya.  Entonces me cuenta que viene recorriendo a pie al camino desde la sede del parlamento europeo, cercana a mi casa, hacia donde estoy a punto de dirigirme en dirección contraria a la suya. Anduvo en un encuentro de alcaldes europeos junto a la alcaldesa de València, que viene un poco atrás, y se dirigen hacia un sarao de los que se organizan en la

Le valencianisme politique et moi

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  Franco-espagnol de naissance, et officiellement binational depuis juillet 2014, c'est au consulat espagnol de Córdoba en Argentine et devant le consul, l'excellent diplomate que le royaume comptait alors là-bas, que je promettais loyauté au roi tout fraîchement sacré, fils de son père, et cela tout républicain que je puisse me sentir. J'en connais, à Montréal, qui ont du jurer fidélité à la reine d’Angleterre. Quant aux consuls d’Espagne il faudra que j'évoque un jour de celui tout aussi gâteux qu'honoraire qui m'accueillit à Catamarca.  J'ai passé a peu près la moitié de ma vie dans chacun des pays, m'étant installé après mes études dans le pays de ma mère. Et si je suis arrivé espagnol, je me sens plus valencien désormais. Je vais tenter d'expliquer le pourquoi du comment. Le drapeau espagnol fut depuis toujours autant mon drapeau que celui de la France, il ne me serait pas venu à l'idée de me décider entre papa et maman. Même plus, lors les

L'advocat (que es creia conseller en cap)

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Primavera/Estiu de 2019 “Hummmmm, dimecres…” Vaig caminant lentament -és al matí i no fa molt que vaig emergir- per la vorera d'una artèria adjacent al riu que va veure com la faraònica seu del seu partit passava a millor vida, substituïda per un hotel en construcció de la qual els hostes albergaran segurament menys intrigues i secrets inconfessables que les successives direccions del PSPV .  Mig adormit, la percepció d'un moviment brusc delata una presència a la meua esquerra i em fa alçar els ulls del sòl mentre vaig caminant. Ell acaba de donar un gir vivaç, sobtat, propi d'un personatge agitat, d'una sort de Louis de Funés . Un gir, alhora que una flexió que ve a marcar una accentuada curvatura, conformant un angle recte quasi perfecte entre cames i pelvis. Una postura exagerada amb la qual la posició del seu tronc permet una mirada molt pròxima a un cartell. Una mirada digna d'un miop profund, de fet porta ulleres i no li seria necessari acostar-la tant. No re

Mon hommage à Ramón Vilar

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 Ça fait donc un peu plus d'un an que tu es parti, Ramón Vilar. J’aperçois de-ci de-là sur le net les hommages qui te sont rendu et que tu mérites bien, "vaya si te los mereces", et je me dois d'y rajouter le mien. En français bien sûr, le francophile que tu étais n'en aura reçu que peu dans cette langue et ta figure d'homme politique aux multiples facettes mais aussi celle de l'internationale, aurait su, je l'espère, apprécier. Car au début des années 80 tu occupas quelque temps le poste de chargé de l'international au Bureau National des Jeunesses Socialistes Espagnoles et n'auras de cesse de t’intéresser à la politique internationale, malgré ton relatif manque de diplomatie, notamment pour ce qui concerne les questions ayant trait au Maroc, à son régime, et au conflit du Sahara occidental.  Le jour où nous nous sommes connu Je ne te connaissais que de vue. Depuis mon arrivée en Espagne j'avais eu à cœur de continuer à militer aux  JSE p

Ilegalizar a Vox

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 Vaya por delante que mis ideas están a las antípodas de las de la extrema derecha pero si no vas a querer leerme hasta el final te adelanto que abogo por no ilegalizar a Vox. Acabo de descubrir a raíz de una petición en  change.org que se pide la ilegalización de la extrema derecha institucional que representa ese partido sin el cual el Partido Popular no gobernaría comunidades autónomas como Andalucía o Madrid. Yo pienso que tendrá éxito y que la pueden llegar a firmar cientos de miles de personas pero mi opinión es que no solo esta abocada al fracaso sino que sería dar un paso en falso. La confirmación por parte de un juez de la -dudosa- legalidad del uso despiadado de niños vulnerables en un cartel electoral o las amenazas al director de la editorial del Jueves o  son para algunos como gotas que colman el vaso. Seguramente la intimidación al presidente de RBA se pueda calificar como delito pero a mi entender debe de llamar a una reflexión profunda, más allá de la interposición de

Ximo Puig le super héros

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Joaquim Francesc Puig i Ferrer, dit Ximo Puig, et probablement né « Joaquín » à la suite de la "castellanisation" forcée des prénoms à l’époque où sévissait la dictature franquiste. Si la figure du grand homme n’y provoque pas encore de pèlerinages massifs, son lieu de naissance, la petite ville de Morella (province de Castellón de la Plana), la perspective que celle-ci offre du haut de la montagne où elle se trouve perchée, son château ou ses fortifications méritent sans conteste le détour. C’est à croire que ce village de 2000 âmes abrite en son sein quelques-uns des potins mondains progressistes ou pseudo progressistes, une de ses églises ayant vu il y a quelque temps la vice-maire de Valence (que le petit journal interrogeait en campagne  https://lepetitjournal.com/valence/actualites/sandra-gomez-valencia-est-une-ville-qui-me-rend-fiere-253966 ) convoler en noces avec un morellien. Un cacique du PSPV aux racines du « Lermisme » Journaliste de formation n'ayant qu