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Mostrando entradas de 2021

L'advocat (que es creia conseller en cap)

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Primavera/Estiu de 2019 “Hummmmm, dimecres…” Vaig caminant lentament -és al matí i no fa molt que vaig emergir- per la vorera d'una artèria adjacent al riu que va veure com la faraònica seu del seu partit passava a millor vida, substituïda per un hotel en construcció de la qual els hostes albergaran segurament menys intrigues i secrets inconfessables que les successives direccions del PSPV .  Mig adormit, la percepció d'un moviment brusc delata una presència a la meua esquerra i em fa alçar els ulls del sòl mentre vaig caminant. Ell acaba de donar un gir vivaç, sobtat, propi d'un personatge agitat, d'una sort de Louis de Funés . Un gir, alhora que una flexió que ve a marcar una accentuada curvatura, conformant un angle recte quasi perfecte entre cames i pelvis. Una postura exagerada amb la qual la posició del seu tronc permet una mirada molt pròxima a un cartell. Una mirada digna d'un miop profund, de fet porta ulleres i no li seria necessari acostar-la tant. No re

Mon hommage à Ramón Vilar

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 Ça fait donc un peu plus d'un an que tu es parti, Ramón Vilar. J’aperçois de-ci de-là sur le net les hommages qui te sont rendu et que tu mérites bien, "vaya si te los mereces", et je me dois d'y rajouter le mien. En français bien sûr, le francophile que tu étais n'en aura reçu que peu dans cette langue et ta figure d'homme politique aux multiples facettes mais aussi celle de l'internationale, aurait su, je l'espère, apprécier. Car au début des années 80 tu occupas quelque temps le poste de chargé de l'international au Bureau National des Jeunesses Socialistes Espagnoles et n'auras de cesse de t’intéresser à la politique internationale, malgré ton relatif manque de diplomatie, notamment pour ce qui concerne les questions ayant trait au Maroc, à son régime, et au conflit du Sahara occidental.  Le jour où nous nous sommes connu Je ne te connaissais que de vue. Depuis mon arrivée en Espagne j'avais eu à cœur de continuer à militer aux  JSE p

Ilegalizar a Vox

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 Vaya por delante que mis ideas están a las antípodas de las de la extrema derecha pero si no vas a querer leerme hasta el final te adelanto que abogo por no ilegalizar a Vox. Acabo de descubrir a raíz de una petición en  change.org que se pide la ilegalización de la extrema derecha institucional que representa ese partido sin el cual el Partido Popular no gobernaría comunidades autónomas como Andalucía o Madrid. Yo pienso que tendrá éxito y que la pueden llegar a firmar cientos de miles de personas pero mi opinión es que no solo esta abocada al fracaso sino que sería dar un paso en falso. La confirmación por parte de un juez de la -dudosa- legalidad del uso despiadado de niños vulnerables en un cartel electoral o las amenazas al director de la editorial del Jueves o  son para algunos como gotas que colman el vaso. Seguramente la intimidación al presidente de RBA se pueda calificar como delito pero a mi entender debe de llamar a una reflexión profunda, más allá de la interposición de

Ximo Puig le super héros

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Joaquim Francesc Puig i Ferrer, dit Ximo Puig, et probablement né « Joaquín » à la suite de la "castellanisation" forcée des prénoms à l’époque où sévissait la dictature franquiste. Si la figure du grand homme n’y provoque pas encore de pèlerinages massifs, son lieu de naissance, la petite ville de Morella (province de Castellón de la Plana), la perspective que celle-ci offre du haut de la montagne où elle se trouve perchée, son château ou ses fortifications méritent sans conteste le détour. C’est à croire que ce village de 2000 âmes abrite en son sein quelques-uns des potins mondains progressistes ou pseudo progressistes, une de ses églises ayant vu il y a quelque temps la vice-maire de Valence (que le petit journal interrogeait en campagne  https://lepetitjournal.com/valence/actualites/sandra-gomez-valencia-est-une-ville-qui-me-rend-fiere-253966 ) convoler en noces avec un morellien. Un cacique du PSPV aux racines du « Lermisme » Journaliste de formation n'ayant qu

El vessant afrancesat de Bruno Lomas

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Havia redactat aquest article en francés, proposant-lo a l' edició valenciana de  Le  Petit  Journal , un periòdic en línia per a francòfons expatriats, pensant que una figura valenciana amb llaços amb França i bastant desconeguda pels seus lectors podria interessar, però no va ser el cas. Llavors ho vaig publicar en el meu blog. Després vaig anar escrivint uns quants articles en francés i en castellà i vaig caure en el compte que l'únic que havia quedat en valencià tractava d'un -més que- impresentable personatge local. Aleshores traduiré aquest :-) Probablement els francesos no han sentit parlar de Bruno  Lomas  ni de la majoria dels grups de rock espanyols que reivindiquen el seu llegat. I ja estava jo per a omplir aquest buit i parlar-los de la carrera del Johnny  Hallyday   valencià. Bruno,  Emilio   Balldoví  Menéndez del seu nom real, de Xàtiva, no tan sols va ser contemporani de Johnny. Els dos rockers es van conéixer i van, arribar a compartir el mateix escenari en

45, y llegué ;-)

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 Así que aquí estoy, consciente de haber llegado a los 45 años. Y es que no acabaron conmigo, los de la secta de mierda de tu madre, la del gurú encarcelado por pederasta. Un hecho que no mencioné en mis artículos en los que evoco, a veces brevemente y otras adentrándome más en la "comunidad" de tu progenitora, es que el baterista de una banda de rock muy popular en la Argentina se había refugiado allí antes de su juicio por el asesinato de su mujer. Cosas. Una banda de la que sus otros miembros también fueron encarcelados... Tras un concierto que salió -realmente- mal .  Por las calles de Córdoba se observaban numerosos grafitis reclamando su libertad. El incendio que causó aquel horror estaba envuelto en polémicas jurídico/administrativo/mafiosas y muchos les creían inocentes. En cuanto al batería es otra cosa.  Otra estrella argentina, Claudio María Domínguez , cuya ex-esposa me parece sigue metida la secta en Catamarca, estaba ligada al demasiado famoso "maestro amor

45 ans, perdu deux dents mais il y a très longtemps, rescapé du kidnapping de mon fils puis de la secte du gourou pédocriminel adulé par sa mère :-)

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Donc voila je suis à peu près conscient que j'atteins les 45 ans. Putain la classe, c'est que des fois je me rends compte qu'ils auraient bien pu me crever, ceux de la secte de merde du pédocriminel emprisonné de ta mère ;-)  Un truc dont je n'ai pas parlé dans mes articles qui évoquent parfois brièvement, parfois plus longuement la "communauté" de ta reum, c'est que le batteur d'un groupe rock hyper populaire en Argentine y avait trouvé refuge avant son procès pour l'assassinat de sa femme. Et ouais. Un groupe bien connu aussi parce que ses autres membres furent aussi emprisonnés… Après un concert qui tourna -vraiment- mal . 194 morts et -au moins 1432 blessés, nous informe la Wikipédia en espagnol.  Dans les rues de Córdoba, pleins de tags réclamaient leur liberté. L'incendie qui avait provoqué cette horreur était au cœur d'imbroglios juridico/administrativo/mafieux et beaucoup les estimaient innocents. Quant au batteur c'est autre c

J'ai eu l'honneur de dîner en compagnie de Jackie Shroff

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  Il n'est pas très connu part nos contrées, mais je pris immédiatement conscience de la célébrité en présence de laquelle je me trouvais et avec qui j'aurais plus tard le plaisir de dîner. J'avais rarement, voire jamais, pu constater comment un type remerciait pour leur dévouement ceux qui se prosternaient avec effusion devant lui en leur distribuant des bonbons qu'il sortait de la poche de son pantalon. Il les distribuait à ses inconditionnels dès que ceux-ci avaient mis au moins un genou au sol. Si naturellement qu’on était amené à penser qu'il le méritait, ce brave homme. Si on parle du nombre de films qu’il tournait par an, cela ne fait aucun doute ;-) Je découvris plus tard, lors du dîner, qu'il passait tellement de temps en tournage qu’il ne connaissait pas Almodóvar! Je l'aurais pourtant parfaitement vu dans un de ses films, peut-être est-il encore temps :-)  Nous fûmes présentés pour l'apéritif par mon distributeur, qui le connaissait bien sûr

Cuando conocí a Jackie Shroff, el famosísimo actor de Bollywood

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No es muy renombrado por estos lares, pero tomé enseguida conciencia de la celebridad ante la que me encontraba y con el que tendría luego el gusto de cenar.  Y es que rara vez, por no decir nunca, había podido observar como un tipo iba agradeciendo su devoción a los que se prosternaban efusivamente ante él regalándoles caramelitos que se iba sacando del bolsillo de su pantalón. Se los entregaba a sus incondicionales una vez aquellos habían puesto al menos una rodilla al suelo. Con tanta naturalidad que llegabas a pensar que se lo tendría merecido, el hombre. En cuanto a números de pelis rodadas al año no hay duda, je. De tantas pelis que protagonizaba me enteré luego durante la cena que no conocía ni a Almodóvar ;-)  Yo le habría imaginado perfectamente en una de sus películas, quizás estemos a tiempo. Mientras tanto nos presentarían para el aperitivo, en el que los vendedores potenciales ejercíamos de invitantes, junto a mi distribuidor de Nueva-Delhi quien ya lo conocía de antes. En

Les quatre mousquetaires du PSPV-PSOE

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Ils brillent de mille feux dans le monde de la politique valencienne ! J'ai d’ores et déjà consacré un article à chacun des deux salopards en chef ( https://fredspie.blogspot.com/2021/03/l-avocat-qui-se-croyait-premier.html et https://fredspie.blogspot.com/2021/01/jip-en-francais.html ), mais si au moins ils n’étaient que deux ! Ils sont fort probablement plus de quatre à avoir plongé leurs sales pattes dans la collaboration avec l'enlèvement de mon fils et les sectes de sa mère mais nous n’étudierons pour l’instant que deux crétins de plus. Et il est bien connu que les trois mousquetaires étaient quatre. Le spirituel   Commençons par le glorieux ex-secrétaire d'organisation (numéro 2, quoi) des Jeunes Socialistes du Pays Valencien (JSPV) qui m'eut sous ses ordres (si tant est qu’il fût en mesure de les donner) à mon arrivée de France. Il ne ressemblait pas à grand-chose et je ne pense même pas que ce soit lui qui ait décidé de me mettre à la porte lorsqu'il